Rien pour me rajeunir, l'album Thriller de Michael Jackson fêtait ses 25 ans en décembre 2007. J'avais neuf ans quand c'est sorti. Et je capotais solide. À l'été 83, puis à l'année scolaire qui suivait, à Sainte-Marie, on en avait que pour Duran Duran, Madonna et Michael Jackson. J'avais un t-shirt noir de lui avec son tigre, acheté chez Croteau. Si j'avais eu l'argent, je me serais tout acheté, même le coat en cuir rouge que j'aurais porté dans ma cour. Je ne m'étais pas acheté l'album à l'époque. J'avais tout dépensé mon argent de poche pour Pied de Poule. J'écoutais Thriller chez mes amis, ou l'empruntais pour quelques jours. Surtout pour Beat It et Thriller. Les autres morceaux étaient trop mielleux. Plus tard, après les frasques de l'excentrique et une préférence pour RBO, les Beastie Boys ou Led Zeppelin, on avait brûlé une cassette de Thriller avec un pyrograveur, tellement on avait honte d'avoir aimé ce jeune homme.
Ce n'est que plus tard, à force de lecture sur l'histoire du rock, et après avoir entendu Billie Jean à la radio vers 1995, avec des oreilles nouvelles (je n'appréciais pas du tout en 1983), et après avoir danser sans vergognes sur Thriller aux mardis rétro du Café Campus quelques années plus tard que j'ai compris la force de ce disque, que j'écoute ou entend régulièrement depuis. Michael avaient composé au-delà de deux-cents chansons pour l'occasion. Le travail de studio de Quincy Jones et le groove imbattable des pièces avaient à eux seuls sauver l'industrie du disque, sur le bord de la faillite, en 1983.
Pour vous changer des reprises de Akon ou de Will.i.am qu'on retrouve sur la réédition de cette année, voici de quoi vous amuser.
Ce n'est que plus tard, à force de lecture sur l'histoire du rock, et après avoir entendu Billie Jean à la radio vers 1995, avec des oreilles nouvelles (je n'appréciais pas du tout en 1983), et après avoir danser sans vergognes sur Thriller aux mardis rétro du Café Campus quelques années plus tard que j'ai compris la force de ce disque, que j'écoute ou entend régulièrement depuis. Michael avaient composé au-delà de deux-cents chansons pour l'occasion. Le travail de studio de Quincy Jones et le groove imbattable des pièces avaient à eux seuls sauver l'industrie du disque, sur le bord de la faillite, en 1983.
Pour vous changer des reprises de Akon ou de Will.i.am qu'on retrouve sur la réédition de cette année, voici de quoi vous amuser.
extrait de AlwaysOutnumberedNeverOutgunned [2004]
MP3 [2007]
Parce qu'on en a jamais assez de revoir ce vidéo.
Pub de bière estonienne
Poster vintage pour la chambre d'enfant.
Chacha et Michel.
Poster vintage pour la chambre d'enfant.
Chacha et Michel.
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EN BONUS
Say Say Say chantée avec Paul McCartney n'était pas sur Thriller, mais elle était sortie en même temps sur l'album Pipes of Peace de l'ex-Beatles. C'était ma chanson préférée de Michael et c'est un peu pour cette raison que je n'avais pas acheté Thriller. Le vidéo était marrant, et on craquait pour ce grand jeune homme qui avait les bons moves. Je me la tapais à la place dans le juke-box à la cabane à sucre. Je vous offre celle qui joue dans mon i-tunes maintenant.
Paul McCartney & Michael Jackson - Say Say Say - Vidéoclip
1 commentaire(s):
je portais fièrement mon macaron carré avec le coat de cuir rouge, mon préféré...
un petit quelque chose pour vous faire rire...
http://www.alternet.org/blogs/video/79025/
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