Salut à toi, Michel !

Back à back, j'apprends deux grosses nouvelles sur mon éditeur Michel Vézina.

D'abord, l'écrivain se retrouve dins finalistes pour le Prix des libraires. Mes super sincères félicitations, Michel ! Je l'ai pas encore lu — shame on me ! Faut dire que tu m'en as raconté pas mal tous les détails l'an passé, mais puisque j'ai une mémoire de merde, je vais aller le voler dans une librairie...

Aussi, le chroniqueur perd sa job au journal Ici. Entr'autres, parce qu'il a des couilles grosses comme ta face. Bonne chance, man ! En espérant qu'il y ait un journal qui va se garrocher sur toi, parce que tes chroniques vont me manquer sinon...

— Mais Ed, c'est quoi le rapport de parler de Vézina sur un blogue consacré à la musique ?

— Bon, oké, l'angle musical s'en vient.

Quand j'ai rencontré Michel la première fois afin qu'il me commande Prison de poupées, il m'a informé qu'il avait été clown pour Bérurier Noir. Fuck man ! Chuis tellement fier de me vanter que mon éditeur a été clown pour un band qui a grandement marqué ma jeunesse !

Faque c'est ça. Voici un extrait du show de Béru à Québec en deux mille quatre. Vive le feu, Michel !

***AJOUT*** La censure Quebecor frappe sa dernière chronique.