Je suis sorti ce soir dedans l'intellingenC.I.A. de l'underground régional et j'ai entendu des rumeurs au comptoir des âme en peines. Ça a aurait l'iar que l'osti d'cave ce serait retiré seul dans le fin fond des plaines du St-Laurent avec son malaxeur et ses long-jeux pour nous concocter un super mixtape à en faire virer moisi le civet de Jive Bunny. Je reste sur le coup et vous donne des nouvelles ou confirmations s'il y en a.
Pour patienter voilà une pièce pour vous du dernier Madeleine Peyroux, excellent album s'intitullant Bare Bones qui se laisse écouter doucement en regardant une crotte de chien au soleil qui fait fondre plus rapidement de son aspect foncé son environnement banc-de-neigeux.
Madeleine Peyroux-You Can't Do Me (mp3)
jeudi 12 mars 2009
Rumeurs sur le V$P
Publié par iùn à 22:34
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7 commentaire(s):
Ça fait toujours du bien une toune avec un fade-out.
C'est toujours intrigant un fade-out, tu sais jamais ce qui se passe après. Qu'est-ce qui se passe avec la toune? A va où? Tout cela est très métaphysique.
Le plus fameux de tous les fade-out :
http://www.amazon.com/Mr-Tambourine-Man-Byrds/dp/B000002ACO
Pour les intéressés du fade-out, voici un historique.
http://en.wikipedia.org/wiki/Fade_(audio_engineering)
Ou encore :
Quelle est la premier fade-out de l'histoire.
http://archives.stupidquestion.net/sq91503fadeout.html
Je viens de comprendre. Même avant que la technologie ne le permette, des compositeurs de musique dite savante procédait au fade-out. Physiquement, les musiciens quittaient lentement l'espace ou baissaient leur jeu en vélocité ou, encore plus loufoque, on demandait au public de quitter l'espace.
L'intention était de représenter la mort ou le départ par rapport à la simple disparition subite.
Maintenant on descend un potentiomètre à glissière pour imiter. Mais surtout pour cacher le fait que les musiciens ne savent pas arrêter de jouer surtout quand ils sont en boisson.
Pour apprécier le fade-out des Byrds (voir premier commentaire) vous devez vous procurer la version single radio de l'époque, celle à 2m19s et pas le remastering à 2m34s où ils ont procédé à une petite "correction".
Elle est fameuse parce qu'elle interrompt l'élan de la pièce. On se croit parti pour une réponse, un retour à la maison et... non. Ciao! Bye! Ce qui fait un déséquilibre qui clashe avec la toune. Déjà que ce cover là est mal structuré. Le motif devrait se répéter une autre fois (comme son auteur et compositeur Bob Dylan l'avait prévu)
Tout de même. Au niveau sonore, du jeu et des arrangements, quelle reprise incroyable! Surtout depuis le remastering. Ça sonne comme le printemps qui te rend visite.
Hey Mr Tambourine man!
Play the song for me.
http://www.mediafire.com/?wzhy2dga3bn
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